Nous vivons une période particulière qui nous pousse à repenser nos habitudes, nos modes de vie, qui nous montre l’importance d’intégrer toujours plus les critères de « durabilité » et de « sobriété » dans nos choix à tous les niveaux. Cette alliance complexe à maintenir sera essentielle dans les années à venir pour rendre adéquate « création de valeur » et « respect de notre environnement ». Dans ce contexte, les innovations procédés, d’usages, environnementales seront les pièces maîtresses de cette mutation.
Les problématiques diverses auxquelles nous sommes confrontés, émissions de gaz à effet de serre, persistance de micropolluants dans les milieux, surconsommation énergétique…, sont ainsi autant de sujets qui nous poussent à créer de nouvelles approches et technologies. Celle-ci doivent rester fiable, efficace et en rapport direct avec le besoin précis identifié. Ainsi, de nombreux sujets émergent en termes de recherche et il devient également primordial de raisonner et d’œuvrer rapidement et concrètement en termes d’économie circulaire et dans le respect des générations futures.
A ce titre et issu d’un constat relatif à l’état des masses d’eau, les résidus présents dans nos eaux usées peuvent être considérés, pour certains d’entre eux, d’ores et déjà comme des éléments non plus à éliminer mais à capter pour une partie, comme pouvant être réutilisés dans d’autres cycles de production de notre économie, à l’image de ce que nous faisons depuis de nombreuses années pour la plupart des objets qui nous entourent. Le statut de déchet et déchet ultime évoluent donc.
Les réflexions portées par les entreprises innovantes et les laboratoires publics se matérialisent par des partenariats et collaborations rendant d’autant plus efficient les projets en cours ; ceux-ci devant répondre à des contraintes techniques et économiques répondant notamment au tissu économique des PME.
Au travail : collaborons & innovons !
Erwan Trotoux
PDG SAPOVAL